En cette période électorale…
En cette période de troubles…
Je n’ai jamais été aussi proche de l’engagement politique.. J’avais réussi à me convaincre non seulement de l’intérêt de l’engagement mais surtout de mes facultés à aider une nation par ma vision et mon pragmatisme.
Arroguance…Ego démesuré…
En quoi ma démarche peut-elle inspirée de telles qualifications alors que celle d’un diplomaé de Science Po ou l’Ena apparaît raisonnable.
Quand peut-on s’estimer utile à sa nation sans passer pour un arroguant? Fallait-il de l’experience, de l’experience en quoi? Des Diplômes, des diplômes en quoi?
J’avais toujours vu en ces politiciens de beaux parleurs à la vision courte.
Si j’étais convaincus, j’avais encore le besoin de l’etre par un oeil indépendant.
La réalite fut bien triste quelques discussions avec d’hommes pleins de sagesse m’amena à ma triste conclusion enfantine; la politique est faite pour les politiciens!
En effet un homme compétent quelque soit son domaine a trop à perdre en s’engageant en politique ( cf B.Tapie par exemple)
Pour accéder au somment de la hiérarchie politicienne, il devra vendre son âme. Il devra s’associer, il devra rejeter sa personne, son histoire et pire que tout sa morale!
Il devra trahir ou s’agenouiller... voir les deux.
Car on ne peut monter dans la classe politique sans aucune magouille politicienne. L’art de dire ce que les gens veulent entendre, la puissance de la langue de bois, l’art de mettre en avant la forme au détriment du fond. Et surtout le pouvoir d’endormir le peuple.
On préfère s’attarder sur des débats classiques qui ne font ni peur ni mal, plutôt que de se pencher sur les vrais problèmes.
L’heure est grave en France e et en Europe . Si je pense que certains politiques et écononistes en sont conscients, ils ne veulent en aucun cas affoler les Français.
Si le compétent ou homme de morale ne peut accéder à la fonction suprême, nous sommes condamner à être gouverner par des incompétents!
Il n’y avait que ce fatalisme qui se dégageait de nos discussions.
Savoir déjà que la vision politique passé au second plan face à l’ambition politique est déjà beaucoup mais se réfugier dans une conclusion aussi froide me glaçait le sang.
En effet comment peut-on croire que le politicien type, dont l’éducation a été basée sur du vents ou plutot l'art de faire croire et du paraître, peut être non seulement le meilleur candidat pour être ministre de l’écologie mais en plus pour passer ministre des finances à mi mandat… Que s’est-il passé entre ces deux mandats, a-t-il fait des cours de soir en finances?
Personne ne trouve rien à redire à tous ces remaniement ministérielles et ni même à la légitimité de son affectation.
En quoi est-il compétent pour donner l’orientation de ces différents ministères?
Une approche scientifique me pousse à croire que l’unique moyen d’evaluer un ministre est dans son art de déléguer car il a au moins je l'espère la sagesse de se savoir ignorant ou pas le meilleur au poste qu'il occupe.
Sa place il la doit plus à une alliance ou à un remerciement de faveur passées qu' à ses qualités propres. Ma peur et si on continue récursivement cette theorie…le président va remercier et faire partager ces alliers en les plaçant ministres, ces ministres vont en faire de même dans leur choix de secretaire… et dans cette chaîne pyramidale le compétent se trouvera bien loin du pouvoir decisionnaire…
A quant des compétents au pouvoir et non des cons pétants ou pédants